No future garden, c’est qui? Derrière la punchline se profile Paule Capmas.

Née (presque) jour pour jour, un an après la sortie du mythique album Never Mind the Bollocks des Sex Pistols. Elle grandit au cœur du jardin de la France, le Lot et Garonne, un territoire de contrastes, parsemé de pruniers d’Ente et ponctué de concerts de Rock alternatif.
Implantée à Paris en tant que cheffe monteuse dans l’audiovisuel, c’est en 2015, qu’elle décide de prendre un nouveau virage et se forme au paysage à l’École Nationale Supérieure de Versailles. Un diplôme de conceptrice de jardin, un master de recherche traitant de l’animalité urbaine et une formation post-master sur les transitions écologiques en poche, elle intègre une agence de paysagistes à paris, en charge des appels d’offre et de la prospection.

Répondant à l’invitation du grand air, de retour en Aquitaine, elle exerce sur le terrain au sein d’entreprises du paysage avant de créer No future garden : born to be wild !

No future garden, qu’est-ce?
Une agence de conception engagée, spécialisée dans la création de jardins charmants et résilients basée à Bordeaux et dans le sud du bassin d’Arcachon.
Du coaching jardin à la maitrise d’œuvre complète, no future garden vous aide à donner corps aux espaces extérieurs de demain.

No future garden, pourquoi?​
Slogan paradoxal et totémique du mouvement punk, empreint de provocation et de second degré qui prône le catastrophisme afin d’inviter chacun à être acteur de son propre destin et d’agir pour changer l’ordre établi.
Réhabilité dans la pensée contemporaine*, on retiendra de ce courant son élan de créativité et d’énergie ainsi que son avant-gardisme concernant les enjeux environnementaux. Donnez nous des jardins! Particuliers, entreprises, architectes et maîtres d’œuvre, rassurez-vous, il n’est pas nécessaire d’être punk pour avoir recours aux services de No future garden !
Un brin de conscience écologique, l’envie d’un jardin poétique, simple à entretenir, permaculturellement correct et potentiellement nourricier sont en effet les seuls prérequis…

*Ecopunk – Les punks, de la cause animale à l’écologie radicale (Fabien Hein, Dom Blake édition le passager clandestin), Le petit et le grand traité du jardin punk (Éric Lenoir édition terre vivante), Penser avec le punk (Catherine Guesde édition PUF)